Je l’ai rencontrée par internet, au début je n’y croyais pas. Une femme qui aime donner la fessée aux hommes, c’est plutôt rare.

Si j’étais ravi dans un sens, le fait qu’elle ait 65 ans m’attirait nettement moins, car je n’ai que 30 ans. Si à cela on rajoute que j’aimerai trouver l’âme soeur, cette rencontre me paraissait soudain moins séduisante. Mamie a du le sentir et, pour me provoquer, m’a demandé si je n’étais qu’un simple fantasmeur sans courage. J’aurai très bien pu répondre que son profil ne me séduisait pas, mais elle m’a coupé l’herbe sous les pieds en me disant, que la rencontre n’était pas sexuelle mais uniquement autour de la fessée.

• De quoi as-tu peur ? Une petite fessée te ferait fuir ? De nous deux, celle qui devrait avoir peur c’est moi. Rencontrer seule un homme, le déculotter pour le fesser c’est aussi libérer son sexe et pour une femme seule cela peut être dangereux.

• J’hésite !

• J’ai donc plus de couilles que toi !

• Ce n’est pas ça !

• C’est mon âge qui te gêne ? Quel rapport avec la fessée que tu mérites ? Alors nous allons couper court à cette discussion. Soit tu viens chez moi demain soir après ton travail, soit nous ne discuterons plus ensemble, un peureux qui n’assume pas ne m’intéresse pas !

Blessé dans mon amour propre, j’ai décidé d’y aller et répondu « oui madame ». Elle m’a donné son adresse et son nom alors qu’elle ne savait finalement que très peu de choses sur moi. Autant dire que mentalement, tout cela me perturbait. Dans un sens, j’ai souvent rêvé et fantasmé sur une femme dominante qui me fesserait à chacune de mes fautes, mais entre fantasme et réalité, il y a un pas.

Ce pas, j’ai osé le franchir. A 18 heure, le doigt tremblant et les mains moites, j’appuyais sur la sonnette de sa petite maison au fond d’une impasse. L’ouvre porte m’a fait sursauter, c’est dire si j’étais tendu. Après avoir poussé le portail, j’ai traversé le jardinet et je suis entré dans la maison par la porte entrouverte.

• Et alors, on ne frappe pas avant d’entrer ?

• Ben j’ai sonné !

• Et alors, il y a une deuxième porte. ressortez immédiatement et frappez !

Vexé mais pris de court, je suis ressortis. Après avoir frappé à la porte j’ai attendu que l’on me dise d’entrer. Par ce jeu elle m’avait déjà mis au pas.

• Vous cumulez les fautes jeune homme, un sérieux recadrage s’impose et je doute fort qu’une seule séance suffise. Baissez les yeux quand je vous parle !

Elle m’a attrapé par l’oreille et conduit au salon comme un gamin pour me mettre face à un mur recouvert d’un papier peint horrible, jaunie par le temps. Les feuille vertes des grosses fleurs tiraient sur le jaune... Sans me laisser le temps de réagir, mamie m’a engueulé avec la voix calme et posée de celle qui maîtrise la situation.

• Alors comme ça, on arrive en retard à son travail régulièrement. Et pour se rattraper, on fait des pauses pour aller fumer. Ne trouvez-vous pas jeune homme que c’est honteux et irrespectueux ?

• Mon patron n’est pas très respectueux non plus !

• Comment être respectueux avec un employé qui arrive en retard et s’accorde des pauses au lieu de rattraper son retard ? Donnez-moi votre paquet de cigarettes !

J’ai donc sorti le paquet de cigarettes que j’avais dans la poche de ma chemise et lui ait donné en me demandant ce qu’elle allait en faire. Elle l’a posé sur la table de son salon avant de continuer à me tourner autour pour revenir sur tous mes manquements que j’avais avoués lors de nos discutions. De par son attitude et sa voix posée, je me sentais comme un gamin devant le directeur de l’école. Ma superbe s’était envolée, je me sentais tout petit, même si j’étais un peu plus grand qu’elle.

• Vous méritez une bonne fessée et croyez-moi, vous allez la sentir passer !

Elle m’a attrapé par l’oreille, (c’est son habitude) pour m’attirer vers son canapé. Sans aucune hésitation elle a dégrafé mon pantalon qu’elle a baissé sans précaution. Son geste brusque m’a déculotté, je me suis retrouvé avec le sexe à l’air devant une mamie. Submergé de honte j’ai mis les mains devant, elle n’y sont pas restées longtemps car j’ai du les mettre en avant, pour ne pas m’écrouler sur elle quand elle m’a couché sur ses genoux.

La tête dans le coussin où je cachais mon visage sûrement rouge de honte, j’ai écouté la sentence sans broncher mais avec la peur au ventre. Elle a repris mes fautes en faisant une addition. 50 claques pour mes retards, plus 50 pour mes pauses cigarette injustifiées pour commencer. Quand sa main s’est abattue sur mes fesses, je me suis dit « ouf cela ne va pas être bien dur », j’étais dans l’erreur !!!!! Si la première était douce, c’étais sûrement pour faire connaissance et les présentations.

Avec la rigueur d’un métronome, elle s’est mise à me fesser une fesse après l’autre. Au fur et à mesure, la puissance des claques s’est accentuée ou mes fesses sont devenues plus « réceptives ». J’ai osé bouger et mettre la main pour me protéger. Une douleur fulgurante a soudain traversé ma cuisse.

• Si tu protèges tes fesses et n’assumes pas tes erreurs, je continue sur tes cuisses !

J’ai aussitôt retiré ma main. Si au départ je comptais les claques, j’ai vite perdu le compte. Le nez dans le coussin de son canapé, je me concentrais pour ne pas mettre la main et contenir mes cris.

• Et 100 ! A dit Mamie en appuyant la centième et en démontant mes fesses qui ne pouvaient qu’être écarlates.

Cette sadique Mamie a attendu quelques secondes en silence pour me laisser reprendre mon souffle. J’avais l’impression que des milliers de fourmis me dévoraient la peau. Soudain, elle a planté ses griffes dans mes fesses. Je n’ai pas pu me retenir de bouger et de crier, une claque s’est abattue sur ma cuisse gauche encore vierge de ses punissions. C’était horrible que de la sentir me griffer, et, en même temps, c’était très jouissif.

• J’adore voir le petit cul des hommes qui réagit à mes claques, mais plus encore à mes ongles. Bon, il nous reste à gérer que tu es entré sans frapper !

• Mais vous aviez ouvert Mamie et je ne voulais pas que l’on voit un homme attendre devant votre porte. Cela pouvait faire jaser.

• Mais tu réponds en plus ! Je double la punition, au lieu de 25 claques cela sera 50 !

J’ai essayé de négocier, de lui expliquer que je n’en pouvais plus, que mes fesses ne les supporteraient pas. Elle m’a répondu que c’était le petit plus que je méritais et que je ne pouvais pas refuser. Sans tenir compte de mes réfutations, elle s’est remise à me fesser. Elle y allait plus fortement encore et m’a fait mordre le coussin innocent. Lorsqu’elle s’est arrêtée, j’étais en nage. Elle a encore planté ses griffes dans mes fesses en me disant que j’avais « un joli petit cul ».

La grosse surprise a été quand elle m’a fait me relever. Sans être au garde à vous, mon sexe était tout sauf mou. Avant que j’ai le temps de le cacher, elle a attrapé mes mains et me les a mises sur la tête pour me conduire au « mur de réflexion ». Marcher ainsi à petits pas avec le pantalon aux chevilles était très humiliant. Et là, elle a repris son crochet. Madame tricotait pendant que je reprenais ma respiration dans cette position humiliante, avec les fesses brûlantes dévorées par des fourmis. Au bout d’un long moment elle m’a demandé de me rhabiller et de venir m’agenouiller devant elle mains comme à la prière.

• Ecoute-moi bien vilain garnement, si tu es encore en retard, la punition sera doublée. Si tu récidive une deuxième fois, tu goûteras à la canne anglaise. Par contre tu as commis trois fautes aujourd’hui, ce qui t’obligera à revenir au moins pour ça. On remercie sa fesseuse après chaque punition. Tu aurais donc du me remercier trois fois. A cela se rajoute que nous n’avons pas parlé du fait que parfois tu ne te laves pas les dents avant d’aller te coucher et de ton appartement en bazar.

• Merci Mamie pour ces trois fessées que je méritais ! Lui dis-je en essayant de l’amadouer.

• Il est trop tard, elles sont enregistrées dans ma mémoire. Tu peux partir mais tu as intérêt d’être sage avant notre prochain rendez-vous.

• C’est quand ?

• Je te convoquerai, file avant que je recommence tout depuis le début !

Avant de partir, j’ai voulu reprendre mon paquet de cigarettes posé sur la table. Elle a refusé en me disant qu’il était confisqué et me serait rendu plus tard si je le méritai. Je l’ai donc remercié et, la queue basse, je suis parti sans demander mon reste. En m’asseyant dans la voiture, j’ai trouvé que les sièges de mon Audi étaient très inconfortable.

Je me suis aussi demandé pourquoi je lui avais demandé « quand serait la prochaine ». En m’emmenant à cette question, en me parlant de la fois suivante, elle m’a embarqué malgré moi dans une relation suivie. Depuis cette rencontre, j’y vais deux fois par mois et depuis peu, je ne suis plus jamais en retard.

Fin

TSM

Cette histoire est totalement fictive et une pure fiction. Toute ressemblance avec des personnes existantes ou ayant existées ou n’existant pas encore est purement fortuite.

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